Les
unités qui défillent le 14 juillet 2009
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Le
défilé motorisé |
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État-major
de force n°4 (EMF 4)
A la fin des années
1990, le concept d’état-major
de forces donne naissance aux
quatre EMF de l’armée
de Terre. Le dernier-né
de ces états majors opérationnels
est l’EMF 4 crée
le 1er juillet 2000 au quartier
Beaublanc à Limoges.
Son corps de soutien est le
15e bataillon du train.
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Brigade
aérienne du contrôle
et de l’espace (BACE)
La BACE est crée
le 1er septembre 2007. Elle est
composée de l’escadron
de défense sol-air 02.950
Sancerre, héritier des
traditions de l’escadron
d’engins 1/520 Diables rouges
crée en 1961 en Allemagne.
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État-major
de la 11e brigade parachutiste
(EM-11e BP)
En 1943, la restauration
de l’armée française
voit la création des trois
régiments de chasseurs
parachutistes. Les 10e et 25e
divisions parachutistes sont créées
dans les années 50 puis
dissoutes en 1961, donnant naissance
à la 11e division légère
d'intervention.
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Régiment
de cavalerie de la Garde républicaine
Le régiment de
cavalerie assure des missions
d'honneur au profit des hautes
autorités de l'Etat. Il
met en œuvre la grande escorte
à cheval du président
de la République et des
chefs d'Etats étrangers
en visite officielle en France,
et participe aux grandes cérémonies
patriotiques en défilant
à cheval.
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Escadron
motocycliste de la gendarmerie
départementale
La participation de la
Gendarmerie au défilé
du 14 juillet date de plusieurs
dizaines d'années. Cette
arme, rattachée organiquement
au ministère de l'Intérieur
depuis le 1er janvier 2009, demeure
avant tout une institution militaire
vieille de plus de 800 ans.
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Brigade
de sapeurs-pompiers de Paris
Par décret impérial
du 18 septembre 1811, Napoléon
1er confie la lutte contre les
feux à Paris à un
corps militaire, le bataillon
de sapeurs-pompiers de Paris.
Cette unité devient en
1867, le régiment de sapeurs-pompiers
qui est lui-même transformé
en brigade le 1er mars 1967, avec
l’extension de son secteur
d’intervention.
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1er
régiment de parachutistes
d’infanterie de Marine (1er
RPIMa)
Le 1er RPIMa est l’héritier
du 2e régiment de chasseurs
parachutiste et des specialair
service (SAS) anglais auxquels
le régiment est incorporé
durant la Seconde Guerre mondiale,
après avoir été
crée dans le cadre des
forces françaises libres.
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Unité
de renseignement de la 3e brigade
mécanisée
L'unité de renseignement
de brigade a été
récemment constituée
à partir de la 4e batterie
du 68e régiment d'artillerie
d'Afrique.
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Escadron
d’éclairage et d’investigation
de la 7e brigade blindée
L’escadron d’éclairage
divisionnaire n°7, est crée
à Valdahon en juin 1977.
Il est intégré au
30e puis au 5e régiment
de dragons. En 2003, l’escadron
rejoint la garnison de Verdun
au sein des 1er-2e régiment
de chasseurs, suite à la
dissolution du 5e régiment
de dragons.
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3e régiment de parachutistes
d’infanterie de marine (3e
RPIMa)
Crée en 1948,
le 3e BPC s’illustre en
Indochine, notamment à
That-Ke en 1950 et Na-San en 1955.
Entièrement professionnalisé
dès 1976, il est depuis
lors présent sur tous les
théâtres d’opérations.
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1er régiment de hussards
parachutistes (1er RHP)
Le régiment des
hussards de Bercheny devient le
1er régiment de Hussards
en 1791, et participe aux campagnes
de la Révolution, de l’Empire
et de la Grande Guerre. Le 1er
RHP est aujourd’hui le régiment
blindé de la 11e brigade
parachutiste et participe depuis
20 ans à toutes les interventions
au Moyen-Orient, en Afrique et
en Ex-Yougoslavie.
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35e régiment d’infanterie
(35e RI)
Crée en 1604 par
monsieur de Némond, le
35e RI a dix victoires inscrites
sur les plis de son drapeau. Durant
la Seconde Guerre mondiale, malgré
sa bravoure au combat de Rethel,
il est dissous en 1940. Il renait
quatre ans plus tard et combat
en Indochine et en Afrique du
Nord. De retour en métropole,
il retrouve Belfort en 1964.
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1er régiment étranger
de cavalerie (1er REC)
Le 1er régiment
étranger de cavalerie,
ou Royal étranger, est
l’héritier du Royal
Cavalerie crée en 1635
sous Louis XVI. Crée en
1921 à Sousse, il est le
premier régiment de cavalerie
de la Légion étrangère.
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1er régiment de chasseurs
(1er RCH)
Le 1er régiment
de chasseurs, créé
en 1651 par Louis de Crévant,
marquis d’Humières,
participe à la bataille
de Valmy et à toutes les
campagnes de l’Empire. Dissous
en mars 1956, à son retour
d’Indochine, le 1er chasseurs
à cheval est reconstitué
en Algérie le 1er septembre
1956.
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19e régiment du génie
(19e RG)
Le 19e régiment
du génie, alors bataillon
du génie autonome, s’illustre
au cours de la Première
Guerre mondiale à Verdun
et à La Malmaison. Après
les accords d’Evian, il
est l’un des derniers corps
de troupe à quitter l’Afrique
du Nord en mai 1964. Il s’installe
à Besançon la même
année.
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35e régiment d'artillerie
parachutiste (35e RAP)
Crée en 1873 à
Vanves et commandé par
le colonel Foch de 1903 à
1905, le 35e RAP s’illustre
pendant la Première Guerre
mondiale. Engagé en Algérie
de 1954 à 1961, il rejoint
définitivement Tarbes en
1975 et retrouve son appellation
RAP. Il participe depuis à
toutes les interventions de la
11e brigade parachustiste (11e
BP) à laquelle il est subordonné.
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68e régiment d’artillerie
d’Afrique (68e RAA)
Créé à
Tlemcen en Algérie le 16
février 1941, le 68e RAA
est engagé dans la bataille
de Tunisie et reçoit sa
première citation à
l’ordre de l’armée
au combat de Djebel Zaghouan en
Tunisie en 1943. Installé
à La Valbonne en 1984,
le régiment est dépositaire
des traditions des 8 régiments
d’artillerie d’Afrique
ayant existé.
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515e régiment du train
(515e RT)
Le groupe de transport
515 (GT 515) est créé
le 1er octobre 1944, à
Noisy-les-Bains en Algérie,
à partir du 2e bataillon
du 1er Zouave et du 11e régiment
de tirailleurs algériens.
Le 1er janvier 1978, le GT 515
prend son appellation actuelle
de 515e régiment du train.
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6e régiment du matériel
(6e RMAT)
Créé le
1er juillet 1985 à Rastatt
en Allemagne, le 6e régiment
du matériel est l’héritier
des compagnies du matériel
de la 1re armée française.
Il est transféré
le 1er juillet 1999 à Phalsbourg
et fait partie de la 1re brigade
logistique depuis cette date.
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3e régiment médical
(3e RMED)
Créé le
1er juillet 2001 à partir
du groupe médical présent
à la Valbonne depuis 1999,
le 3e RMED, dépositaire
des traditions des formations
sanitaires ayant participé
à la guerre d’Indochine,
a reçu son drapeau en 2001.
Restructuré en 2006, le
régiment a perdu sa structure
bataillonnaire. Il est désormais
articulé autour de 3 compagnies.
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1er groupement logistique du commissariat
de l’armée de Terre
Créé en
1980, le 1er groupement de l’intendance
devient, en 1999, le 1er Groupe
logistique du commissariat de
l’armée de Terre.
Héritier des traditions
des compagnies des ouvriers de
l’administration de la garde
impériale créées
en 1806, le 1er groupe logistique
du commissariat de l’armée
de Terre relève depuis
2006 de la 1re brigade logistique.
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Le
défilé des troupes à pied |
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Détachement
Indien
Avant l’indépendance
de l’Inde en 1947, alors
que le pays est sous protectorat
britannique, deux divisions d’infanterie
indienne, débarquant à
Marseille en septembre 1914, participent
au coté des troupes françaises
à la 1re Guerre mondiale.
Pendant la Seconde Guerre mondiale,
plus de 2,5 millions d’indiens
combattent sur les théâtres
européens et sont récompensés
de 4 000 Gallantry Awards (récompenses
et décorations pour acte
de courage) et 31 Victoria Cross.
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Ecole
polytechnique
L'École polytechnique naît
le 11 mars 1794 au moment où
la Révolution française
s’efforce de poser les fondements
d’une nouvelle société.
En 1976, l’école
quitte Paris pour s’installer
à Palaiseau et bénéficier
d’un large espace propice
à l’extension des
laboratoires de recherche et à
l’implantation d’une
infrastructure sportive et moderne.
Entre temps, en 1972, les filles
ont été admises
à entrer à l’X.
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Ecole
des officiers de la gendarmerie
nationale
L'École des officiers de
la Gendarmerie nationale est crée
en 1901 à la caserne Schomberg
à Paris. Le 1er octobre
1945, elle s’installe au
quartier Augereau à Melun.
Les soixante-trois années
suivantes sont marquées
par la diversification des recrutements
et des formations dispensées.Le
1er septembre 2008, le centre
d'enseignement supérieur
de la Gendarmerie nationale a
été intégré
à l'EOGN et le centre de
recherche de la Gendarmerie nationale
a été créé
à Melun dans l'enceinte
de l'École.
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Ecole
spéciale militaire de Saint-Cyr
Fondée par le Premier Consul
le 28 janvier 1802 à Fontainebleau,
l’Ecole a été
transférée dans
un premier temps en 1808 à
Saint-Cyr dans les Yvelines, puis
en 1945 à Coëtquidan
dans le Morbihan. Depuis deux
siècles, l’Ecole
spéciale militaire de Saint-Cyr
forme les officiers de l’armée
de Terre, en s’adaptant
constamment au contexte et aux
besoins de l’armée
de Terre professionnelle.
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Ecole
militaire interarmes
Après la défaite
de Sedan en 1870, le nouveau gouvernement
décide d’institutionnaliser
le recrutement interne des officiers
en créant des cours destinés
à compléter l’instruction
des sous-officiers susceptibles
d’être nommés
sous-lieutenants. En 1945, l’Ecole
rejoint l’Ecole spéciale
militaire (ESM) sur le site de
Coëtquidan pour y former
l’Ecole spéciale
militaire interarmes (ESMIA).
Finalement, le général
de Gaulle redonne à chaque
école son fonctionnement
propre en 1961. A ce jour, l’EMIA
a formé près de
34 000 officiers.
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Ecole
navale et école des officiers
du commissariat de la Marine
En novembre 1830, une ordonnance
royale créé l’École
navale et confirme son embarquement
sur le vaisseau Orion en rade
de Brest. Après vingt ans
de vie en baraquements, les bâtiments
de la nouvelle École navale
Base de Lanvéoc à
Poulmic sont inaugurés
en 1965 par le général
de Gaulle, président de
la République.
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Ecole
des officiers de l'armée
de l'air
L’École de l’Air
est crée en 1935 dans les
locaux de L’École
militaire d’application
de l’aéronautique,
avant d’être accueillie
à Salon-de-Provence dès
1937. Elle assure la formation
initiale des officiers de l’air
(pilotes et navigateurs), des
officiers mécaniciens,
des officiers des bases et des
officiers commissaires.
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Ecole
du service de santé des
armées
Héritière de l’Ecole
impériale du service de
santé militaire installée
à Strasbourg de 1856 à
1870, l’Ecole du service
de santé militaire de Lyon
est crée en 1888. Devenue
Ecole du service de santé
des armées en 1972, elle
est transférée en
1981 à Bron. Y ont été
formés, en collaboration
avec les écoles et facultés
civiles, près de 13 000
médecins, pharmaciens,
vétérinaires, officiers
d’administration et chirurgiens
dentistes au profit des armées.
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Ecole
de gendarmerie de Tulle
Créé le 1er juin
1983, sous l'appellation de centre
d'instruction de gendarmes auxiliaires
(CIGA) de Tulle, l'École
de gendarmerie de Tulle prend
son appellation actuelle le 1er
juillet 1993. En 1999, date de
la suspension du service national,
l'École se voit confier
la formation d'une nouvelle catégorie
de militaires: les élèves
gendarmes adjoints volontaires.
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Ecole
nationale des sous-officiers d'active
En 1881, Saint-Maixent accueille
l’Ecole militaire de l’infanterie
(EAI). De 1963, création
de l’Ecole nationale des
sous-officiers d’active,
à 1967, départ de
l’EAI, les deux écoles
cohabitent sur le même site.
Au fil des années, Saint-Maixent
l’École, résolument
tournée vers sa vocation
opérationnelle, s'affirme
comme une étape incontournable
dans le parcours professionnel
du sous-officier et le point de
passage obligé de la majorité
de l'encadrement de l'armée
de Terre.
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Ecole
de Maistrance
L'Ecole des sous-officiers de
la Marine a été
créée en 1923 pour
favoriser, tant par son mode de
recrutement que par l'instruction
qui y est dispensée, la
formation d'officiers mariniers.
Elle prend le nom d'École
de Maistrance en 1933. Profondément
réformée en 1988,
année d'inauguration de
l'Ecole de Maistrance dans son
format actuel, elle est implantée
à Brest au sein du centre
d'instruction naval.
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Ecole
de formation des sous-officiers
de l'armée de l'air.
Installée à Rochefort
en 1932, l’Ecole de formation
des sous-officiers de l’armée
de l’Air est l’héritière
de l’Ecole technique de
l’armée de l’Air,
crée en 1916 et installée
en premier lieu dans la région
bordelaise. Après la fermeture
de la base aérienne 726
à Nîmes en juillet
1996, la formation militaire initiale
des sous-officiers rejoint également
le site. C’est en 1998 que,
devenue le pôle unique de
formation des sous-officiers,
elle prend le nom d’Ecole
de formation des sous-officiers
de l’armée de l’Air.
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Ecole
d'enseignement technique de l'armée
de l'air
C’est de 1945 à 1949
que l’armée de l’Air
entreprend de transformer l’usine
de canons « Hispano-Suiza
» en école des mécaniciens
et conducteurs autos. En 1949, la
base aérienne 722 est créée
sur le site et reçoit pour
mission d’accueillir une partie
puis la totalité de l’Ecole
des Apprentis mécaniciens
de l’armée de l’Air
de Rochefort. Par décision
du 25 juin 1990, la base aérienne
722 devient l’Ecole d’enseignement
technique de l’armée
de l’Air 722. |
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1er
Régiment d'infanterie de
la garde républicaine
Crée le 15 septembre 1978,
le 1er régiment d’infanterie
de la Garde républicaine
est l’héritier du 1er
régiment de la Garde de Paris
apparu sous le Consulat, renouant
ainsi avec la tradition. Le 11 novembre
1979, il reçoit son drapeau
des mains de monsieur Valery Giscard-d’Estaing,
président de la République. |
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2e
Régiment d'infanterie de
la garde républicaine
Le 2e régiment d’infanterie
de la Garde républicaine
a été crée
le 15 septembre 1978 et reçoit
son drapeau des mains de monsieur
Valery Giscard-d’Estaing,
Président de la République,
le 11 novembre 1979. Héritier
du 2e régiment de la Garde
de Paris créé sous
le Consulat, il renoue de fait avec
la tradition. |
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Brigade
franco-allemande
Symbole de coopération entre
l’Allemagne et la France en
matière de Défense,
la brigade franco-allemande (BFA)
est une unité binationale
créée en 1989, création
annoncée le 1er novembre
1987 par François Mitterrand
et Helmut Kohl, lors du sommet franco-allemand
de Karlsruhe. En 1990 est mis en
place l’état-major
de Böblingen, avant que la
brigade ne soit placée, en
1993, sous contrôle opérationnel
du corps européen. |
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27e
bataillon de chasseurs alpins
En 1871 est créé à
Rochefort le 27e bataillon de marche
de chasseurs à pied, d’abord
déployé en Algérie
et en Tunisie. En 1888, il se transforme
en bataillon alpin de chasseurs
à pied, s’installe
à Menton puis prend ses quartiers
à Annecy en 1922. De 1955
à 1962, le bataillon est
engagé en Algérie,
puis rejoint Annecy. |
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152e
régiment d'infanterie
Crée en 1794 à Landau,
le 152e RI est le régiment
des diables rouges, surnommé
ainsi par les Allemands lors des
terribles combats de l’Hartmannswillerkopf
en 1915. Entrés les premiers
en Alsace en 1914, les diables
rouges totalisent sept citations
à la fin du conflit. En
1945, il retrouve Colmar où
le général de Gaulle
lui remet son drapeau, dont les
soies portent dix inscriptions
de batailles prestigieuses.
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1er
régiment de chasseurs parachutistes
Le 1er RCP est le plus ancien
des régiments parachutistes.
Crée à Fez au Maroc
en 1943, il participe aux combats
de la Libération au cours
de la Seconde Guerre mondiale.
Le 23 octobre 1983, la 3e compagnie
est anéantie au Liban lors
de l’attentat du Drakkar,
au cours ququel 58 parachutistes
trouvent la mort.
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8e
régiment de parachutistes
d'infanterie de marine
Dès sa création
à Hanoï en 1951, le
8e bataillon de parachutistes
coloniaux, formé par des
volontaires venus des autres unités
parachutistes, est engagé
au Tonkin. Il combat ensuite jusqu’en
1961 en Algérie, où
il prend le statut de régiment,
puis est rapatrié à
Nancy avant de s’installer
à Castres en 1963. Il est
Professionnalisé en 1970.
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OMLT
: Operational mentor and liaison
teams
Dans le cadre de l’engagement
de la France en Afghanistan, ces
équipes sont intégrées
dans les unités opérationnelles
de l’armée nationale
afghane, qu’elles accompagnent
et conseillent dans toutes leurs
missions. Depuis août 2006,
les équipes françaises
sont affectées au 201e
corps, insérées
à l'état-major du
corps, à celui de sa 1re
brigade et aux kandaks (bataillons
afghans) qui la constituent.
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31e
régiment du génie
Le 31e RG est l’héritier
du 31e bataillon du génie
crée le 1er avril 1920
au Maroc pour participer à
la pacification du royaume chérifien.
Durant la Seconde Guerre mondiale,
il prend part à la reconquête
de la France sous l’appellation
de 88e bataillon du génie,
engagé en Alsace (1944)
et en Allemagne (1945). À
son retour, il a pour mission
de mettre sur pied de nouvelles
unités du génie.
Aussi le 31e RG est-il officiellement
crée le 1er mars 1946.
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Brigade
de sapeurs-pompiers de Paris
Le 1er juillet 1810, un terrible
incendie éclate à
l’ambassade d’Autriche.
Une dizaine de morts est à
déplorer à la suite
d'une insuffisance du dispositif
de sécurité. Par
décret impérial
du 18 septembre 1811, Napoléon
1er confie la lutte contre les
feux à Paris à un
corps militaire, le bataillon
de sapeurs-pompiers de Paris.
Cette unité devient en
1867, le régiment de sapeurs-pompiers
qui est lui-même transformé
en brigade le 1er mars 1967, avec
l’extension de son secteur
d’intervention.
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Drapeau
du bataillon de marins-pompiers
de Marseille
Le 30 avril 1982, devant l’Hôtel
de ville, le capitaine de vaisseau
Jean Molenat, alors commandant
du bataillon de marins-pompiers
de Marseille, reçoit le
drapeau des mains du ministre
de la Défense, Charles
Hernu, en reconnaissance de l’esprit
de dévouement et de sacrifice
qui caractérisent l’unité.
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Bataillon
de marins-pompiers de Marseille
Le BMPM trouve son origine dans
l’incendie des Nouvelles
Galeries survenu sur la Canebière
le 28 octobre 1938. A la suite
de ce dramatique évènement,
le gouvernement de l’époque
décide de militariser les
pompiers de la ville. C’est
ainsi que, le 29 juillet 1939,
monsieur Edouard Daladier, président
du Conseil, signe un décret-loi
donnant naissance au bataillon
de marins-pompiers à Marseille.
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Fusiliers
commandos marine
Si la spécialité
de « fusilier marin »
est l’une des plus anciennes
de la Marine, c’est durant
la Seconde Guerre mondiale, sous
l’impulsion du commandant
Kieffer, que les premiers fusiliers
marins commandos sont formés
en Ecosse au camp d’Achnacary.
Six commandos marine sont créés
et reçoivent leurs noms
: Trepel, François (décimé
en Indochine en mai 1951), De
Montfort, Hubert, De Penfentenyo
et Jaubert.
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Equipage
de la frégate anti sous-marine
De Grasse et de l'aviso l'Her
Mise sur cale à Lorient
en 1972, la frégate De
Grasse est lancée le 30
novembre 1974. Elle est admise
au service actif en 1977 et remise
à niveau en 1995-1996.
L ’Her est un bâtiment
initialement conçu pour
les opérations de lutte
anti sous-marine par petits fonds.
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25e
régiment de génie
de l'air
Cette unité est l’héritière
des compagnies d’aérostiers
attachées en 1886 aux régiments
du génie, puis regroupées
en 1901 pour former le 25e bataillon
du génie de l’Air.
Celui-ci devient le 25e régiment
du génie de l’Air
le 1er janvier 1972.
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Drapeau
de la direction de la police nationale
ministère de l'intérieur
En 1945, monsieur Adrien Tixier,
ministre de l’Intérieur,
crée au sein de la direction
générale de la sûreté
nationale, la compagnie urbaine
de sécurité afin
d’assurer la protection
des bâtiments. Le 5 décembre
1976, le ministre de l’Intérieur
Michel Poniatowski crée
le service de sécurité
du ministère de l’Intérieur
(SSMI).
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Ecole
nationale supérieure de
la police
L’ENP de Rouen Oissel est
crée fin 1997 sur les 66
hectares laissés vacants
par le 71e régiment du
génie (dissout dans le
cadre du plan armée 2000
), au cœur de la forêt
du Rouvray. La première
promotion d’élèves
intègre la structure le
2 mars 1998. Depuis l’ENP
a formé près de
20 000 personnes.
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Ecole
nationale supérieure des
officiers de la police
Lointains descendants des "Commissaires
examinateurs au Châtelet"
créés en 1306 par
Philippe le Bel, les commissaires
de police occupent aujourd'hui
une place particulière
au sein de la fonction publique,
à la jonction des domaines
judiciaire et administratif. Ils
forment le corps de conception
et de direction de la Police nationale.
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Ecole
nationale de police de Rouen-Oissel
L’ENP de Rouen Oissel est
crée fin 1997 sur les 66
hectares laissés vacants
par le 71e régiment du
génie (dissout dans le
cadre du plan armée 2000
), au cœur de la forêt
du Rouvray. La première
promotion d’élèves
intègre la structure le
2 mars 1998. Depuis l’ENP
a formé près de
20 000 personnes.
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Ecole
nationale supérieure des
officiers de sapeurs-pompiers
Créée en 1977 par
M. Christian Bonnet, ministre
de l’Intérieur, l’École
nationale supérieure des
sapeurs-pompiers (ENSSP) est implantée
à Nainville-les-Roches,
dans l’Essonne, dès
janvier 1979. En 1986, l’ENSSP
devient l’École nationale
supérieure des officiers
de sapeurs-pompiers (ENSOSP).
À l’occasion de la
création de l’Institut
national d’études
de la sécurité civile
(INESC), en 1994, l’École
est rattachée à
l’institut.
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1er
détachement de pompiers
volontaires et professionnels
territoriaux
En 803, Charlemagne crée
les guets urbains qui regroupent
les habitants des villes dans
des milices communales, afin de
lutter contre les incendies. En
1815, une circulaire du ministre
de l'Intérieur de Louis
XVIII instaure l'organisation
d'un service d'incendie pour toutes
les communes. Plus récemment,
la loi du 3 mai 1996 a créé,
dans chaque département,
un corps de sapeurs-pompiers au
sein de chaque service départemental
d'incendie et de secours
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Pionniers
du 1er régiment étranger
Le 1er régiment étranger
est le doyen des régiments
de la Légion, celui du
célèbre combat de
Camerone qui opposa, le 30 avril
1863, une compagnie de 60 légionnaires
à 2 000 soldats mexicains
lors de l’expédition
française au Mexique. Plus
récemment, les unités
de pionniers ont tracé
la route de l’Est, au cœur
de la forêt amazonienne.
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Musique
de la légion
La Musique de la Légion
étrangère maintient
la tradition des formations musicales,
musiques, cliques et fanfares,
autrefois nombreuses à
la Légion. Héritière
de la Musique principale de la
Légion étrangère,
la MLE est aujourd'hui la seule
musique de la Légion étrangère,
les régiments n'ayant conservé
que des clairons pour assurer
les sonneries réglementaires
qui rythment la journée
des légionnaires.
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2e
régiment étranger
de parachutistes
C’est en 1948 que commence
l’épopée des
bataillons étrangers de
parachutistes (BEP) en Extrème
Orient, où les légionnaires
parachutistes sont marqués
par de terribles combats. Le 2e
REP est le dernier régiment
à avoir été
engagé dans une opération
aéroportée à
Kolwezi en 1978.
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